Galerie Mansart

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ACTUALITÉS DE LA GALERIE

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1. Marais Art Week : une foire internationale à ciel ouvert dans le Marais

Les galeries du Marais ont décidé d’organiser une semaine spéciale de l'art contemporain, du dimanche 18 octobre au dimanche 25 octobre 2020. Le Marais sera pendant 8 jours le quartier international pour l’art contemporain : misant sur le local-international, chaque galerie accueille pour cette semaine en plus de sa programmation un confrère étranger. Les galeries ouvriront deux dimanches consécutifs et accueilleront une programmation artistique internationale. Mise à jour pour ces événements, l’application mobile marais.guide proposera de nouveaux plans et parcours géolocalisés à suivre au sein des galeries. Le Comité professionnel des galeries d’art apporte son soutien au projet en le relayant au sein du « Pari(s) de l’art », regroupant une semaine d’événements du 19 au 25 octobre. Dans ce cadre, les galeries du Marais Art Week participeront aussi à la nocturne du jeudi 22 octobre.


2. A ce jour, près de 50 galeries du Marais invitent 50 galeries venant de 11 pays

Ce ne sont pas moins d’une cinquantaine de galeries d’art contemporain du Marais qui participent à cette foire à ciel ouvert le temps d’une semaine. Parmi celles-ci, les initiateurs de ce projet collaboratif, inédit et solidaire : les galeries Danysz, RX, Polaris et Anne Barrault. Sont également du Marais Art Week des galeries telles que Nathalie Obadia, Valeria Cetraro, New Galerie, Thomas Bernard / Cortex Athletico, Frank Elbaz, Suzanne Tarasieve, Andréhn-Schiptjenko, Papillon… L’accent sera mis sur l’internationalité des échanges et les interactions entre galeristes, marchands, amateurs et collectionneurs. 11 pays sont représentés des quatre coins du monde : Europe, Afrique, Amérique et Asie. Seront présentes des galeries de Belgique, de Suisse, d’Italie, du Luxembourg, d’Espagne, des Pays-Bas, des États-Unis, du Canada, du Japon, du Maroc ou encore de Turquie. Christian Berst invite la galerie Blum & Poe de Los Angeles, Nathalie Obadia accueillera Rodolphe Janssen de Bruxelles, Ceysson & Bénétière collabore avec la 56 Henry de New York.

3. La Galerie Mansart invite l'espace Grande Surface de Bruxelles, Belgique

Du 16 octobre au 22 novembre la Galerie Mansart présente l'exposition « DYADES » de deux artistes membres fondateurs de l'artist run space Grande Surface : Inès Haym-Domange (membre fondateur) et Damien Caccia (membre actif fondateur). 
Le commissariat de cette exposition est assuré par Camille Frasca et Antoine Py. 

Voir plus d'informations concernant l'exposition. 


4. Les ouvertures dominicales marais.guide : une nouvelle source d’échanges artistiques

Les ouvertures dominicales marais.guide ont débuté il y a six mois à l’initiative conjointe de quatre galeries désireuses d’un mouvement collaboratif pour dynamiser les interactions artistiques et culturelles dans le Marais. Ces ouvertures dominicales sont accompagnées d’une application mobile (à télécharger sur 
https://marais.guide) qui identifie les galeries du projet, indique les dimanches d’ouverture et propose des parcours artistiques.

Informations pratiques

Marais Art Week by marais.guide : du dimanche 18 au dimanche 25 octobre 2020 (fermeture le lundi)
Nocturne du CPGA dans le cadre du « Pari(s) de l’art » : jeudi 22 octobre jusqu’à 20h
Application marais.guide téléchargeable sur 
https://marais.guide
​
(pour charger l’application : aller sur l’URL ci-avant, cliquer sur « Ajouter »,puis « Sur écran d’accueil » et elle se met directement sur votre smartphone)

12.10.2020
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Inès Haym-Domange - Vue d’atelier, 2020.
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Damien Caccia - Point d’ancrage, bois & tissus, 147x120x24cm, 2019.

DYADES
INÈS HAYM-DOMANGE & DAMIEN CACCIA
16 octobre - 22 novembre 2020
Vernissage : 15 octobre 2020 16:00-22:00

Commissariat : Camille Frasca & Antoine Py

01.09.2020
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Where are we now / Où sommes-nous maintenant Photos : coquilles d’œufs (détail), 48 x 560 cm, 2020
Motoko Tachikawa
Before today was tomorrow
3 septembre - 11 octobre  
Vernissage : 5 septembre 13h-19h

Exposition personnelle. 
Vernissage samedi 5 septembre, de 13h à 19h, en présence de l'artiste. 
Les consignes sanitaires seront respectées. Veuillez porter un masque.

//

Solo show.
Opening Saturday, September 5th, from 1pm to 7 pm, the artist will present. 

All precautions will be in place, please do wear your mask.  


À très vite // See you soon

22.07.2020
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La Galerie Mansart est heureuse de vous annoncer sa participation au troisièmeévénement de Marais.Guide, une initiative collective des galeristes du Marais qui coincide avec le dernier jour de l'exposition "Déraison du quotidien" de Jeanne Susplugas.

 
5 000 utilisateurs à travers le monde se sont connectés à Marais.Guide !
 
Une app solidaire et collaborative à disposition des galeristes et des collectionneurs, Marais.Guide soutient les galeries et les artistes et invite les amateurs d'art à venir visiter le dense réseau d'expositions du Marais.

Prochain rendez-vous ce dimanche 26 juillet de 14h à 18h dans les galeries !

30.06.2020
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Vue de l'exposition "Déraison du quotidien". Photo : Rebbeca Fanuele

***

Rejoignez-nous à la galerie pour fêter le premier week-end des vacances avec un brunch en présence de l'artiste.

Samedi 4 juillet, 2020
Brunch de 12:00 à 15:00
Galerie ouverte jusqu'à 18:00

Exposition

DÉRAISON DU QUOTIDIEN
Jeanne Susplugas


Réouverture : 20 mai - 26 juillet 2020

Commissariat : Camille Frasca & Antoine Py

***

Toutes les conditions sanitaires et la mise en place des gestes barrières seront respectées.


15.03.2020
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Jeanne Susplugas, Pillmoji (face mask), 30x20cm, encre sur papier, 2020

​Chers tous,  
​
En vue des recommandations gouvernementales concernant la crise sanitaire actuelle, la Galerie Mansart sera fermée à partir de dimanche 15 mars. L'exposition "Déraison du quotidien" de Jeanne Susplugas restera ouverte par la suite sur rendez-vous à compter du mercredi 18 mars. Merci de nous écrire à : contact@galerie-mansart.fr.  

Prenez soin de vous et de vos proches, à bientôt.  

L'équipe de la Galerie Mansart  

#expoderaisonduquotidien #jeannesusplugas #galeriemansart 

01.03.2020
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La Galerie Mansart a le plaisir de vous inviter au vernissage de l’exposition 

DÉRAISON DU QUOTIDIEN
Jeanne Susplugas

Vernissage :
jeudi 12 mars à partir de 18h

Exposition :
13 mars - 5 avril 2020

Commissariat :
Camille Frasca & Antoine Py



L’exposition « Déraison du quotidien » présente le travail de Jeanne Susplugas, artiste française qui utilise divers supports et techniques pour parler des maux de notre quotidien, du léger déraillement de notre raison, que nous cherchons à colmater par divers moyens : médicaments, TOCs et tics, habitudes obsédantes, autant d’attitudes qui constituent des supports voire des soutiens nécessaires de la vie quotidienne. 

Les oeuvres de Jeanne Susplugas apparaissent alors comme les fulgurances d’un esprit cherchant son équilibre, donnant à voir des images aux sens multiples, sur un ton tantôt humoristique, tantôt poétique.

Au-delà du plaisir esthétique évident mis en scène de façon presque dérangeante, les oeuvres apparaissent comme des poèmes visuels, obsessionnellement répétés sous différentes formes, rompant parfois le rythme trop harmonieux du conte que veut bien nous raconter l’artiste.

« La folie, la déraison du quotidien, c'est le chemin entre l'onirique et l’erroné » 
Michel Foucault, Histoire de la folie à l'âge classique, Paris, Gallimard, 1972

« Les hommes sont si nécessairement fous que ce serait être fou par un autre tour de folie de n’être pas fou »
Blaise Pascal, Pensées, 1670

#expoderaisonduquotidien #jeannesusplugas #galeriemansart 
​

07.02.2020
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​Cécile Bicler est heureuse de vous convier à une
Soirée sentimentale premier degré
dans le cadre de l'exposition « Dans l'espace personne ne vous entend hurler »
« Rendez-vous à la galerie Mansart, 5 rue Payenne dans le 3ème arrondissement, dès 18h, le 14 février, pour fêter le saint Valentin.
NON, c'est dégueulasse ! Pas ça ! Ahhhhhhh !
Allez, surmontons notre dégoût, faisons un effort et soyons rebelles sentimentaux en faisant une soirée sensible avec poètes au cœur bleu et chanteurs crooners en chemises repassées.
Il y aura des boissons de l'amour imaginées par Marie-Bénédicte Cazeneuve,
des poèmes de Guilhem Estevenon,
des chansons chantées par Adrien Lamm, Marc-Antoine Vaugeois et David H. Pickering,
des extraits de films sélectionnés avec amour,
un court-métrage de Cécile Bicler,
trois minis conférences de Gwenola Wagon, Pierre Cassou-Noguès et Cécile Bicler 
et une introduction surprise.

Âmes sensibles bienvenues 🥰 »

« Oh I love to love
But my baby just loves to dance
He wants to dance, He loves to dance, He's got to dance
Oh I love to love
But my baby just loves to dance
Oh I love to love
But there's no time for our romance
No no no ohI love to love »

Tina Charles


Retrouvez l'actualité de l'exposition de Cécile Bicler sur les comptes Instagram de la galerie et de l'artiste.
#soireesentimentale #cecilebicler #expocecilebicler #galeriemansart 



17.01.2020
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Dans l’espace personne ne vous entend hurler
Cécile Bicler

Vernissage :
jeudi 30 janvier à partir de 18h
&
Performance :

La vie en blanc couleurs  

à partir de 19h30

Exposition :
31 janvier - 23 février 2020


Commissariat :
Gabriela Anco

 
 
La Galerie Mansart a le plaisir de présenter l’exposition Dans l'espace personne ne vous entend hurler, signée par l’artiste plasticienne, performeuse et réalisatrice Cécile Bicler. 

Cécile Bicler dessine comme elle filme, elle filme comme elle sent, elle sent comme elle vit : en triant, en choisissant, en découpant. Collectionneuse d’images, l’artiste garde d’énormes dossiers de découpages d'images qu'elle a trouvées, prises, empruntées ou volées. 

Toute finalité est un montage, un collage de plusieurs images, un assemblage visuel, avec une cohérence sensible, instinctive et subjective, donc irréprochable. Cependant, la technique et les supports (film, dessin, performance) sont aussi des véhicules, des moyens d’expression pas forcément d'un message, mais surtout d’un ressenti, d'une sensation, d'un trouble, d'un amour. 

Cécile parle du romantisme comme d'un absolu, de l'amour comme une histoire, la seule et unique, celle qu'on rêve unique mais qui se multiplie malgré soi dans la totalité du spectre des émotions qu’elle produit : de l’engagement inconditionnel au désespoir. L’amour magique et sorcier, celui sans limite mais qui prend fuite et fin et qui donne faim, encore plus, toujours plus, celui absolu et le monstrueux ressortent à travers des collages spatiaux, assemblés organiquement comme des dessins puzzle, combinant des éléments divers tels la photographie, le photogramme, la peinture, le dessin.

Gabriela Anco

Commissaire de l'exposition


PERFORMANCE
La vie en blanc couleurs 
Avec Marie-Bénédicte Cazeneuve et Jean-Luc Vincent
et avec l’aimable participation de
 

Karine Adrover
Aziyadé Baudouin-Talec 
Daniela Baldelli
Marie Casadebaig
Mathieu Cloarec
Guilhem Estevenon
Adrien Lamm
Judith Prigent
Tarik Rami
Patricia Reinhart
Gwenola Wagon



Retrouvez les préparatifs de l'exposition de Cécile Bicler sur les comptes Instagram de la galerie et de l'artiste.

#cecilebicler #expocecilebicler #galeriemansart 
​

23.12.2019
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La Galerie Mansart vous souhaite des bonnes fêtes de fin d’année ! 🌟

​
Pendant cette période festive, nous vous invitons à voir l’exposition « Cristaux & Pollen » de Antoine Petel. 
La galerie restera ouverte du 26 décembre au 29 décembre. Nous serons fermés les 25 décembre et 1er janvier.

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Cristaux & Pollen 

Antoine Petel

Exposition :
du 13 décembre 2019 au 12 janvier 2020

Antoine Petel est un plasticien poète. Il ne cherche pas à résoudre, il questionne, il ouvre, se tourne vers cosmos, les pieds enracinés dans le vivant. Ses oeuvres protéiformes sont autant d’avènements. Entre hasard et nécessité, entre arborescences mentales et organiques, il explore la matière et la conscience. Les formes qui en résultent sont autant d’éclats en expansion ou de bulles de questionnements s’arpégeant en variations colorées. [...]

Pulchérie Gadmer



Retrouvez les préparatifs de l'exposition d'Antoine Petel sur les comptes Instagram de la galerie et de l'artiste.

#expocristauxetpollen #antoinepetel #galeriemansart 

Photo: Chrysalide rouge, Antoine Petel, 2019
@Arnaud de Saussine

02.12.2019
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Cristaux & Pollen 

Antoine Petel

Vernissage :
jeudi 12 décembre à partir de 18h

Exposition :
du 13 décembre 2019 au 12 janvier 2020

 
Antoine Petel est un plasticien poète. Il ne cherche pas à résoudre, il questionne, il ouvre, se tourne vers cosmos, les pieds enracinés dans le vivant. Ses oeuvres protéiformes sont autant d’avènements. Entre hasard et nécessité, entre arborescences mentales et organiques, il explore la matière et la conscience. Les formes qui en résultent sont autant d’éclats en expansion ou de bulles de questionnements s’arpégeant en variations colorées.

L’artiste agite les particules du vivant et invente des procédés plastiques. Il part de cette tentative : peut-on agir avec la matière comme on voit la matière agir ? « J’observe le mécanisme en moi-même : de quoi suis-je fait ? » Il entreprend une exploration de la dynamique de la matière, entre projection, allégorie et représentation. 

En tant que système conscient, nous représentons peut-être la structure la plus aboutie de la matière, pourtant, nous n'en sommes qu’une forme provisoire, suppose l’artiste, elle évoluera encore… En tant que sapiens au regard de l’histoire universelle entamée il y a quelques 14 milliards d’années, nous sommes à peine des nouveaux nés. Pourquoi cette explosion primordiale ? Que faisons-nous là ? 

Comment habiter cette question constitue le centre du travail d’Antoine Petel. Et dans cette recherche formelle et chromatique joyeuse, réside sans doute le tour de force de l’artiste aux prises avec la matière. En pleines dystopies ambiantes, la déflagration optimiste de son oeuvre plastique est de taille. Une oeuvre qui précisément interroge les mécanismes même du vivant dans leurs représentation et réception. Le vivre ensemble s’en trouve ainsi éclairé.

Pulchérie Gadmer

Retrouvez les préparatifs de l'exposition d'Antoine Petel sur les comptes Instagram de la galerie et de l'artiste.

#expocristauxetpollen #antoinepetel #galeriemansart 

18.11.2019
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15.11.2019
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ciné collage, Full HD, BW and colour, loop, sound, 9,47 min, 2015-2017
Projection du film 

«Anoir et la femme dans le jardin »  
de
Patricia Reinhart 

ciné collage, Full HD, BW and colour, loop, sound, 9,47 min, 2015-2017  

Projection : 
vendredi 22 novembre de 18h à 21h
à plusieurs reprises à travers la soirée



Exposition IN BLOOM :
du 8 novembre au 8 décembre 2019

Commissariat : Gabriela Anco

« Mes ciné-collages sont un travail individuel (one woman work). Je suis le modèle pour chaque personnage représenté et toutes les images sont extraites et arrangées par moi-même en studio d’une façon très privée.

Ce processus offre un point de vue singulier utilisant un caractère qui est à la fois un symbole, un avatar et une métaphore. Ces oeuvres ont un rapport direct avec le mélodrame en tant que technique de performance, notamment dans certains opéras. Mes mélodrames, plutôt que d’avoir des personnages de héros, d’héroïne, de méchant, etc., consistent en un personnage féminin unique. L’effet global est un récit de croissance personnelle face à un état d’être existentiel apocalyptique. »

Patricia Reinhart




Retrouvez les préparatifs de l'exposition de Patricia Reinhart sur les comptes Instagram de la galerie et de l'artiste.

#expoinbloom #patriciareinhart #galeriemansart

21.10.2019
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Patricia Reinhart, Sans Titre, aquarelle/feutre sur toile, 170 x 150 cm, 2019
IN BLOOM

Patricia Reinhart   


Exposition :
7 novembre - 8 décembre 2019  

Vernissage :  
jeudi 7 novembre à partir de 18h  

Commissaire : Gabriela Anco.  


Patricia Reinhart, l’élémentaire élément femme  

La plasticienne autrichienne travaille la sensualité comme fil rouge de l’identité. « As a woman, after the storm, I lay down my arms. I don’t want to fight anymore or to act like a man. I would love to go to the garden, as a woman. » Artiste plasticienne autrichienne, Patricia Reinhart peint, installe, performe, photographie et réalise ses ciné-collages, montages d’images fixes et mouvantes en still-motion. Son film « Anoir and the woman in the garden »(1) est un ciné-collage qui explore la féminité par le biais d’une sensualité impressionniste et définissante, exprimant une identité en dehors des stéréotypes et du mimétisme de la lutte masculin-féminin. Au carrefour du feu de l’eau de l’air et de la terre, Patricia Reinhart nous rappelle que nous sommes fait-e-s de particules élémentaires.  

 
Carine Dolek  
(1) Oeuvre présentée dans le cadre de la Nuit Blanche à Paris en 2018, projetée sur sur l'Enceinte de Philippe Auguste dans Paris 03.    



Retrouvez les préparatifs de l'exposition le compte Instagram de la galerie.  

#expoinbloom #galeriemansart #patriciareinhart

23.09.2019
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TERRAIN VAGUE

Odyssée Dao

Vernissage :
jeudi 10 octobre à partir de 18h

Exposition :
du 5 octobre au 3 novembre 2019

 
TERRAIN VAGUE
L’installation d’Odyssée Dao « Terrain vague » évoque une dérive absurde de notre relation à la consommation et à celle de l’eau en particulier. En effet, ces sachets plastiques (sources problématiques de déchets) nous promettent ni plus, ni moins... la mer.
Sous forme de kit do it yourself avec renfort marketing d’une image et d’un titre avec un jeu de mots « O2Mer », ces sachets normalement industrialisés et vendus au poids sont détournés par l’artiste pour nous faire réfléchir aux promesses et aux paradoxes de notre temps consumériste.
Il y a dans cette vague de sel, cet océan de potentiel marin, une ironie poétique, un constat d’impuissance et de légèreté. Ce travail peut s’apparenter à la mouvance DADA qui dans son manifeste affirmait (entre autres) : « Nous ne sommes pas assez naïfs pour croire dans le progrès. Nous ne nous occupons, avec amusement, que de l’aujourd’hui. Nous voulons être des mystiques du détail, des taraudeurs et des clairvoyants... »
L’installation étincelle, elle séduit par ses effets de lumière et son intégration tentaculaire à l’espace, et en même temps elle nous glace par l’atrocité qu’elle pourrait suggérer.
Un monde sans eau, où il ne subsisterait qu’une notice/un mode d’emploi de l’élément.
L’idée de la mer, mais plus de matière première.
Cette proposition vacille entre urgence écologique, poésie et absurdité.

A proximité du « Terrain vague » se trouvent trois grandes peintures, « La disparition du pigeon en trois étapes » qui représentent un pigeon qui semble passer le « test du miroir ». Nous sommes dans un système de représentation bien loin du réel même si le style de la peinture est réaliste. En effet, le reflet de l’oiseau disparaît, où est-ce la conscience de celui-ci qui s’efface ?
Ce triptyque évoque un mouvement mental qui pourrait se lire dans les deux sens : une disparition ou une apparition. La proie et l’ombre. Lorsque l’objet disparaît l’image resurgit, lorsque l’image apparaît, le pigeon se questionne ou plutôt nous renvoie, nous, spectateur, à réfléchir à ce qui est ou pourrait être. Le pigeon, cet animal que l’on aime détester, que l’on oublie de regarder parce qu’il nous semble si commun, nous apparaît immense et sacralisé sur la toile, l’artiste nous oblige à le voir, à nous identifier même, à cet oiseau finalement très beau et si banal, comme nous... peut-être.
Il y a aussi de l’absurde dans cette transposition, l’oiseau est beaucoup trop grand, le reflet est peint, il pourrait être son fantôme ou son double, l’illusion est visible. Dans ce choix du modèle, il y a cette idée que le sujet peut être manipulé, par le regard ou l’artiste, c’est comme un cobaye de nos croyances et de nos dérives que l’on soumet à un test de conscience, de conscience de soi.
Virginie Otth


Retrouvez les préparatifs de l'exposition le compte Instagram de la galerie.
 #expoterrainvague #galeriemansart #odysseedao

16.08.2019
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CRASH TEST

thetOOth&therOOt
Nikita Kravtsov et Camille Sagnes Kravtsova


Vernissage :
jeudi 5 septembre à partir de 18h

Exposition :
du 6 au 22 septembre 2019

Commissariat : Natalya Guzenko Boudier

 
Un accident mortel de voiture, de train ou d’avion est une chose qui nous fascine et qu’en même temps, nous essayons d’ignorer et de repousser de notre champ de conscience. Dans notre société, l’idée de la mort est cachée comme si elle ne faisait pas partie de notre existence.

La vie idéale, c’est une vie qui rejette tout ce qu’il y a d’inacceptable. Ce constat est un clin d’oeil à l’idée de « kitsch », chère à Milan Kundera : cette « station de correspondance entre l’être et l’oubli ». Ici, la vision d’un accident de voiture est une occasion dangereuse de ressentir la présence de la mort et, par conséquent, l’intolérable vérité de l’être.

Dans leur série Crash Test faite de collages sur toile avec des motifs découpés dans des vieux torchons de cuisine, les Kravtsov désamorcent la morbidité du réel en poussant l’expression du kitsch à son paroxysme : l’accident devient un univers acidulé, joyeux et puéril.

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Retrouvez les préparatifs de l'exposition de Camille et Nikita sur les comptes Instagram de la galerie et des artistes.

#expocrashtest #thetoothandtheroot #galeriemansart

01.07.2019
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PORTFOLIOS

Paulina Denti
Imane Hachem
Kangrong He
Eve Martin
Alexis Morange
Maïté Maumy
Arsène Prat
Stéphane Triandé
Yvain Reydy

Vernissage :
4 juillet à partir de 18h

Exposition :
de  5 au 28 juillet 2019

Commissariat : Camille Frasca & Antoine Py

 
L’exposition Portfolios présente le travail de XX artistes de “l’Ecole Européenne Supérieure de l’Image Angoulême et Poitiers” à travers un ensemble de portfolios présentés sous la forme de papiers peints, sur lesquels sont apposés des cartels conçus par les artistes eux-mêmes. Pensée comme une installation collective, l’exposition Portfolios se veut un pied-de-nez cynique à l’actualité du statut de jeune artiste contemporain : contraint de réaliser des portfolios séduisants et d’organiser des visites d’atelier très bien gérées, il se débat avec l’image qu’il crée ou qu’il doit créer de lui-même et de son travail. Face à un monde de l’art obnubilé par la représentation du moi et par la quête d’un statut, l’artiste n’a plus qu’une minute pour décrire et convaincre : l’expérience est ici proposée via un téléphone permettant d’écouter la présentation orale de chacun.

​14.05.2019
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Bianca Argimón :  Par anomie 

Vernissage : le 16 mai à partir de 18h

Exposition :
17 mai - 16 juin 2019

Commissaires d'exposition: Camille Frasca et Antoine Py

L'exposition personnelle « Par anomie » présente un ensemble d'oeuvres inédites de Bianca Argimón, artiste née en 1988.

Le concept d’anomie forgé par Emile Durkheim est un des plus importants de la théorie sociologique. Il caractérise la situation où se trouvent des individus lorsque les règles sociales qui guident leurs conduites et leurs aspirations perdent leur pouvoir, sont incompatibles entre elles ou lorsque, minées par les changements sociaux, elles doivent céder la place à d’autres. Cet état d’anomie amène à des rejets sociétaux importants de la part des individus qui le vivent.
Bianca Argimón fait le constat d’unesociété actuelle en perpétuel changement, dans un état transitoire devenu permanent, recyclant les images aussi vite que les technologies se périment. L’accélération ainsi provoquée amène à un malaise général qui influe sur de nombreux champsaux répercussions plus ou moins violentes. Cette société au bord de l’implosion, comme en témoigne notre immédiate actualité, est pourtant aussi celle où tout devient ludique, où tout doit passer par le prisme d’une recherche du plaisir immédiat et d’une notion du bonheur aux contours très flous.
[...]
Bianca Argimon nous emporte avec elle, dans des histoires sans fin où les mots sont souvent des anglicismes, où il est beaucoup question de religion, d’argent et de narcissisme, et où tout se mord la queue, où tout est à la fois vanité, vacuité et trop-plein. Elle illustre et interroge ainsi les versions 4.0 de l’humanité : homo ludens / homme augmenté / humanité uploadée / humanité surchargée, que les sociologues et philosophes actuels tentent de définir, sans jamais parvenir à rattraper le temps et à actualiser une évolution inactualisable.
Bianca Argimón nous parle du temps qu’il fait chez nous, sur cette planète affolée, ce temps si politique où voir et représenter est déjà une manière d’agir.


10.04.2019
MUTE
Une exposition organisée dans le cadre de la Saison France-Roumanie 2019
Manifestare organizată în cadrul Sezonului România-Franța 2019


Artistes : Nomi Blum, Damien Caccia, Stephanie Carranza, Albert Kaan, Dimitri Mallet, Célia
Nkala, Daniel Rosca, Vlad Turco

Commissariat : Camille Frasca et Antoine Py 


Une “mutation” - ce changement définitif d’un organisme ou bien l’organisme lui-même déjà modifié  est au coeur de cette exposition. Nous avons choisi d’utiliser le terme « mute » afin de jouer sur les différents sens de ce mot, en langue française, roumaine et anglaise : « mute » en français signifie «se transforme », en roumain, cela signifie « déménager» et en anglais, cela veut dire « silencieux » ou « momentanément sans voix ». Au travers de ces multiples connotations, nous voulons explorer non pas le lien formel mais le lien conceptuel qui peut exister entre deux scènes artistiques.
L’exposition réunit en effet des artistes aux pratiques transdisciplinaires, venant de France et de Roumanie, et incarnant une certaine vision de la production artistique émergente actuelle des deux pays. Les différents médiums et points de vue développés dans l’exposition témoignent des possibilités et de l’actualité du sujet exploré – ce constant changement de formes autour de nous, ayant un impact sur notre environnement sociétal et intime, et cette constante transformation des choses d’un état à un autre, depuis les mutations biologiques jusqu’aux changements sociologiques en passant par les transformations matérielles, qui nous fait dire que tout est en « devenir ». Les artistes en sont les vecteurs, construisant des images à partir de ce qu’ils perçoivent, et nous donnant des clefs de compréhension pour voir le monde non pas différemment mais dans sa vérité la plus charnelle. Tantôt mouvement, tantôt métamorphose.

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25.02.2019
 
 
ON THE ROAD 
par Rada Tzankova



Du 9 mars au 14 avril 2019
VERNISSAGE le 14 mars 2019 de 18h à 21h

Pour sa première exposition personnelle à la Galerie Mansart Rada Tzankova inspiré par la country de Willy Nelson, Why don't we do it in the road des Beatles, enregistrés dans les années 70/80, qui évoquent pour l'artiste un temps où l'homme se préoccupait plus de son âme que de son avoir. On the Road parle de ce temps mais également de l'espoir que l'homme reviendra vers son âme d'une nouvelle façon.Dans le travail de Rada Tzankova, l'homme est à la recherche de sa place dans le monde. Des oeuvres que l'académicien François Cheng définit comme « ces paysages habités vibrent d’une lumière ou l’âme humaine entre en résonance avec le mouvement rythmique qui gravite du fond de l’univers vivant…"
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24.01.2019
 
TOUT VA TRÈS BIEN 
LOUISA BABARI / ANNE DEGUELLE / SILVÈRE JARROSSON /
NIYAZ NAJAFOV / LUCA RESTA / CHARLOTTE PUERTAS /
SANNE DE WOLF

Exposition collective réalisée sous le commissariat d'Azad Asifovich

Du 1er au 24 février 2019
VERNISSAGE le 31 JANVIER 2019 de 18h à 21h


 
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TOUT VA TRÈS BIEN  
LOUISA BABARI / ANNE DEGUELLE / SILVÈRE JARROSSON /
NIYAZ NAJAFOV / LUCA RESTA / CHARLOTTE PUERTAS /
SANNE DE WOLF

Du 1er au 24 février, exposition collective réalisée sous le commissariat d'Azad Asifovich.
Une sélection d'oeuvres, par sept artistes issus de différents pays, et sur différents médiums. Ils emploient la dimension esthétique et poétique pour parler de la ville en tant que lieu d’ intervention, d’ interaction,simplement comme lieu de vie. L’ exposition abordera cette question de la ville à travers les notions de politique du paysage, de déplacement et de coexistence.

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Adresse

5, rue Payenne
​75003 Paris

Horaires

Mercredi - dimanche
13h à 19h

Téléphone

+33 (0)9 52 48 86 08